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clic
◄

Prenez
votre temps ! Comme elles, installez-vous...pour découvrir
une
pépite du patrimoine industriel puis faites le savoir au son des
tambours !
nos vaches sont à
Druelle...


Le patrimoine évoqué sur
ce site nous fait voyager dans le temps.
François Cabrol n'était pas souvent devant un clavier, sinon un passage
du rail Barlow à la moulinette des calculs aux éléments finis aurait pu
lui faire deviner
quelques difficultés...
▼ cliquez sur les images
◄
clic
Une image historique ! Pas pour les circulations
de trains, qui vont s'interrompre (le 9 décembre 2017, provisoirement ?
) pour quatre années,
mais pour ce très modeste ouvrage hydraulique de voie. Les Barlow de sa
structure, regardez bien, sous la poutre blanche, sont
une vraie rareté en 2017, et vont très probablement disparaître. Des
Barlow en service, même détourné, fin 2017, une réelle pépite !
(photo 8 novembre 2017, une ancienne voie Midi près de
Rodez).
Vous êtes nombreux à le dire !
clic
▲ (sondage national
Fondation du Patrimoine, 2016)
A la Une
pour vous souhaiter la bienvenue
sur ce site,
il y a beaucoup de pépites derrière
le bouquet,
faites un clic sur l'image !
Aucune relation entre le rail Barlow
et le genêt....mais les uns vont bien avec les autres

◄
lecture...
Les chemins de fer miniers de
Mondalazac et
Cadayrac
vous êtes sur
la page des choix :
13
itinéraires de découvertes, une
page cinéma et 9 pages
spéciales
les dernières
nouveautés sont ICI
Pour commencer, découvrez le causse
Comtal ICI
ICI 1- Le
chemin aérien de Mondalazac à Marcillac, photos, plans et texte
ICI 2- La
découverte de la voie de 1,10 m de Cadayrac à Salles la Source,
ICI 3- Le
parcours de Firmi à Marcillac
ICI 4- Les
photos de l'ensemble des parcours
ICI 5-
Les lectures conseillées
ICI 6- A la
une, les derniers compléments
ICI 7-
L'Histoire, la grande et les petites, de Libourne à Decazeville en Rouergue
ICI 8- Les
chemins de fer miniers du Causse Comtal : cartes et
représentations
ICI 9- S'il te
plaît, dessine moi un viaduc....
ICI
10- Gare minière
de Marcillac, modélisation numérique
ICI
11- Pliages et
collages, modèles en téléchargement, téléchargement expo et 4pages
ICI 12-
"me revient à l'esprit le bruit
des sabots..."
ICI
13- Les clés de
l'histoire...
Trésors
d'archives : le fonds J, pépites et
vieux papiers
un clic
sur l'image !
<<<<<<<<<<<<<<
Malakoff, La
page
spéciale Mikhail Mikhailovich Malakhov,
j'y suis, j'y reste
un clic
sur l'image !
Découvrez l'Atlas cantonnal (sic) Lacaze et Clergue, son
histoire,
ses "copieurs", ses
particularités....jusqu'au tribunal !
Une page
spéciale, un grand dossier de la Route du Fer
un clic
sur l'image ! PARTIE
I et PARTIE II
<<<<<<<<<<<<<<
La Route du Fer, de
Muret-le-Château à Decazeville
et Aubin. A
suivre dans l'Atlas
paroissial de Mgr Bourret
Une page
spéciale de cartes.
un clic
sur l'image !
<<<<<<<<<<<<<<
La Route du
Fer, de Ferals à
Marcillac,
vallée du
Cruou, vallée de
la discorde
un clic
sur l'image !
<<<<<<<<<<<<<<
du causse aux usines,
le minerai va faire de longs voyages, comme ici à Socoa : ces
ferrailles, ce sont des Barlow
(voir chap 6) de Decazeville !
▼
clic



images
Gilles Rudelle, août 2016
▲
Le Kaymar, près de
Pruines fut un site d'exploitation de minerai de fer pour la compagnie
du duc Decazes. Le château de Pruines a été un temps propriété de la
famille de Bancalis. Et Joseph Decazes, frère du duc, épousera une
demoiselle de cette famille. Sur l'image ci-dessus, les deux frères
sont donc présents....

L'introduction,
c'est un peu plus bas dans la page...

Avec
ces pages nous souhaitons
présenter
des textes liés
quelquefois de façon un peu lointaine à l’exploitation des mines de fer de Mondalazac et
de Cadayrac, ou
Lagarde. Ces sources seront complétées
par des observations de terrain. Le but
principal est de situer
les traces,
visibles ou pas, sur
le terrain. Notre
objectif dans ces cheminements et recherches est essentiellement
d’inventorier
ce qui peut être encore visible, et au delà, tenter de
replacer
ces éléments dans un contexte
historique, géographique, géologique….l’ambiance de
l’époque, pour
résumer !
C’est
ainsi
que de Mondalazac à Marcillac, on peut évoquer plusieurs cheminements, nous leur donnons le nom
de chemins de
traverses ,avec un s,
et un chemin
aérien .
Le
premier, aérien,
très linéaire, en deux
tronçons, parcourt le plateau jusqu’à Marcillac depuis Mondalazac. Il reste des vestiges,
quelques murs, et
surtout de très beaux massifs de pylônes porteurs, de plusieurs types.
Les
tiges filetées de fixation des structures métalliques sont très
apparentes.
Repérables sans trop de difficultés sur le plateau avant Solsac, où ils
n’ont
pas tous été détruits dans les exploitations, ces massifs deviennent
beaucoup
plus discrets en se rapprochant de Marcillac : il faut de
l’attention, des
cartes, et un peu de chance pour retrouver les massifs, quelquefois
noyés en
plein bois. On peut retrouver aussi quelques wagonnets d’exploitation, reconvertis, ou bien seuls
en pleine
nature...
Le
deuxième
cheminement est plus simplement
évoqué : c’est le parcours qui va des Ferrals à
Marcillac par la
vallée du Cruou, par un chemin de fer en accotement de la route,
financée
principalement d’ailleurs par la compagnie
pour cet usage.
Un
autre
chemin de fer, plus que modeste existait aux mines de Solsac, pour
rejoindre la
route de Marcillac où il s’interrompait. A part son empreinte
conservée sur
quelques cartes, dont une de 1858,
nous
n’avons pas de témoignages plus
réels…mais ne l’oublierons pas !
A
Marcillac
et vers Firmi, les témoins du chemin de fer minier sont par contre
beaucoup
plus nombreux. Il reste des vestiges
de
viaduc, des ponts, des
tunnels murés ou
pas et l’emprise de la voie peut être suivie sans trop de difficultés.
C’est
quelquefois envahi par les broussailles, et les traversées de clôtures
sont
très nombreuses. On trouve aussi quelques restes ferrés, barrières,
rails
devenus piquets, mais
sans garantie
aucune sur leur réelle
origine pour
certains.
Un
quatrième
cheminement, au sud du plateau, traverse de très beaux
paysages du
causse, de la gare de Salles la Source aux mines de Cadayrac. Ici, les sources de
recherche sont bien
plus discrètes ; il est vrai que la
vie du train fut courte ! Et pourtant, c’est celui dont on a
peut-être le
plus parlé vers 1860 ! Nous avons pu mettre en parallèle
plusieurs cartes
anciennes ; la première, avant
ou au tout début du projet de ligne à voie de 1,10 m, est datée de
1858. La
seconde, propriété d’une personne privée, est
datée 1878, soit 4 ans avant la fin de l’exploitation. La
comparaison
des documents est source de surprises, surtout lorsque ensuite on
effectue le
trajet in situ ! Ce parcours est relativement aisé au départ
du plateau,
depuis la gare de Salles, les nombreuses bornes qui le jalonnent aident
à se
retrouver si besoin est. La deuxième partie du parcours, après le
passage de
la tranchée et des remblais, est plus difficile et sujette à
interrogations.
L’arrivée aux mines par contre ne pose pas de problèmes, sauf une
vigilance
certaine évidente…et il y a beaucoup de plaisir à parcourir ces chemins, surtout en hiver en
l’absence de végétation
trop envahissante.
Il
est probable que figurent dans ces évocations
quelques imprécisions, ou même, quelques erreurs, et par avance, nous
remercions vivement tous ceux qui voudront bien nous aider à améliorer
le
texte. Un clic sur le signe ?
de
la page d'accueil peut vous aider à résoudre quelques
difficultés de lecture. Si par ailleurs, vous détenez des
documents, photographies,
objets,
témoignages, papiers divers, ou si vous connaissez
un proche qui détient au fond d’un tiroir …..quoi que ce
soit
relatif à ces chemins miniers, aérien ou pas, c’est avec grand plaisir
que je
vous rencontrerais : merci de prendre contact à l’adresse
internet jrudelle@ferrobase.fr,
et si internet n’a pas
encore envahi votre
monde, vous aurez sans aucun doute la possibilité de faire passer votre
information par une connaissance amie !
Nous
précisons enfin, mais est-ce utile ? , que
l’ensemble des documents, textes et
photographies, est propriété de leurs auteurs respectifs,
et des sites Internet consultés.
Ils sont ici
communiqués seulement à titre d’exemple et
d'illustration, pour permettre de poursuivre ses
propres itinéraires de connaissance. Les plans, photographies sont
droits
réservés et collection particulière
de
l’auteur, sauf mention contraire. La lecture, ici,
de notre page d'encouragements est peut-être nécessaire...
Il
est enfin important de souligner que la quasi totalité de ces parcours
s'effectue sur des propriétés privées : c'est donc avec le
respect qui s'impose que nous vous proposons ces itinéraires.
L'auteur de ces pages ne peut prendre aucun
engagement sur
la faisabilité des parcours et ne peut être tenu
pour
responsable de quelques problèmes que ce soit.
Nos
remerciements s’adressent à tous ceux qui ont facilité ces
découvertes. Ils sont, après plus de dix ans de recherches, très
nombreux. Parmi eux :

-
ceux qui me sont inconnus mais qui ont bien voulu écrire et partager
sur internet :
certaines informations n’auraient pu être recoupées sans leur
travail
- A. Missoffe et H. Finster pour leurs photos
- l’Ecole des Ponts et Chaussées, et particulièrement
la responsable du fonds ancien de sa bibliothèque
- l'Ecole des Mines Paris Tech, Mlle Divert, Mme Maisonneuve
- le service des Archives de la SNCF
- l'ASPIBD à Decazeville, M. Herranz, Président et M.
Granier, Secrétaire
- Claude
Douls
- l'Aéro-Club de France
- le Musée d'Orsay, service Documentation, service Architecture
- les Archives Départementales de l’Aveyron
- la Médiathèque de Rodez, une très grande richesse, et...
accueil en rapport
- Bernard Olivié, à Marcillac, assurément ferrovipathe
- Françoise Curet
- M. Rey
- Roger Combes, pour ses souvenirs de la mine des Espeyroux
- Pierre Lançon, et la Société des Lettres Sciences et Arts de
l'Aveyron
- Thierry Alcouffe , au Musée Denys-Puech de Rodez
- Laurent Wehrlé pour les pistes d'un porteur aérien de
ciment et d'une ardoisière
- Bernard Amar, en Nouvelle Calédonie, pour ses images des mines
de Thio
- Bernard Viguier, meunier
- Le musée des Beaux-Arts de Libourne, Corinne Cubilier, Laurent
Lascoup
- Francis Mazars, Musée de la mine, Aubin
- The Library of Congress, Washington ( with my
gratitude to Marilyn Ibach for help )
- Julie Lourgant, chargée d'inventaire du patrimoine,
Grand Rodez
- la Société des Sciences, Arts et Belles Lettres du
Tarn, Bertrand de Viviès, Président
- la Bibliothèque de l' Assemblée Nationale ( Andrée
Garataud)
- le musée Toulouse Lautrec, Albi, Danièle Dewynck,
Conservateur en chef
-
Sénat, service photographique, C. Lerouge
- les Archives diocésaines de l'Aveyron, René Andrieu, archiviste
... tous
ceux rencontrés sur cette Route du Fer, et André Ferrarini, avec qui
j'ai eu le plaisir de retrouver bornes et autres restes ferrés
Jean RUDELLE
► Un résumé, quatre
pages couleurs à télécharger, est disponible : voir en fin des
chapitres 11 ou 12.
Un mot de
technique informatique
Les
pages de ce site ont été composées sur PC
avec Kompozer. La
consultation de
l'ensemble des pages devrait être " normale "
avec le
navigateur Firefox, sur PC. Il est possible cependant que d'autres
navigateurs
ne gèrent pas exactement cette mise en page
comme nous
l'avions souhaité ! Des éléments peuvent par
exemple ne plus être
alignés, ou les transitions en fondu dans les diaporamas
non
réalisées...
réactions assez imprévisibles et aussi délicates
à gérer qu'il est
quelquefois difficile de rechercher la trace des wagonnets ! Parfois,
le joli fond bleu, comme ci-dessus à droite, peut
être absent ! Pourquoi ? Problème de mémoire ? La
résolution d'écran utilisée pour la conception des
pages est de 1440*900. Si votre écran ressemble
à l'image ci-dessus à gauche, pas de panique :
essayez un nouveau
réglage ou utilisez la loupe, à l'envers ! Sur la
page d'accueil, un clic sur l'icône ?,
et une petite page de texte vous permet de remédier à ces
divers imprévus. Bonne
lecture ! Un détail : un appui sur la touche F11 permet un
affichage plein écran, et un deuxième appui sur F11 vous
fera revenir à votre écran d'origine...
Remarques, importantes…
► Afin de faciliter ces découvertes, nous voulions vous
proposer 273 cm 2 (soyons précis) de
cartes IGN au 1/25 000 . Contacté par nos soins, l’IGN
nous a proposé un montant des droits d’utilisation
de cartes pas
particulièrement symbolique…En conséquence,
nous nous abstiendrons et vous trouverez
parfois la mention suivante : à découvrir
personnellement sur la
carte IGN, en lieu et place de certains des
documents.
► D’autres cartes ont été
recherchées et consultées. Celles du
manufacturier de pneumatiques de Clermont Ferrand, par exemple. Si nous
l’appelons
ainsi, c’est qu’il ne nous a pas autorisé à citer sa Marque
( !!??), et
surtout nous n’avons pu vous proposer ici les 84 cm2
d’une carte en notre possession de 1912 !!!! Vous
aurez donc droit à la mention : à consulter sur la carte du
manufacturier
de pneumatiques de Clermont Ferrand. Avec tous nos regrets…
© 2019
pour nous écrire, c'est tout
simple : jrudelle@ferrobase.fr
"Aucune
reproduction, même partielle, autres que celles prévues à l'article L
122-5 du code de la propriété intellectuelle, ne peut être faite de ce
site sans l'autorisation expresse de l'auteur "
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